Qu'est-ce que l'on mange ?

Bonjour,

En ce beau dimanche ensoleillé, les habitants du quartier sont venus nombreux à la rencontre du Jardin partagé de Falbala à l'occasion de la Fête des jardins, une manifestation de la Ville de Paris à laquelle Falbala participe tous les ans.

Il faut dire que les tables étaient… copieuses ! Et les mets au-delà de l'appétissant.
Mais non ! Les amis de Falbala ne sont pas comme ça ! Les nourritures terrestres leur importent peu.

Alors, pourquoi sont-ils venus ?

Pour fêter la naissance de Falpabo, magnifiquement décoré par les enfants de l'école, avec Sarah, une conteuse qui connaissait le secret de l'épouvantail et l'a raconté aux enfants.

Mais quel est-il ce secret ?
Chut… Ne les dérangeons pas.

À bientôt

Un abri-serre pour Falbala ? Ouh ! là là !

Bonjour,

Le Jardin partagé de Falbala est situé sur le territoire de la politique de la Ville. À ce titre, il peut bénéficier de subventions au titre de projet concourant au développement social urbain.

En 2008, une aide avait été demandée pour la réalisation de Falpabo, le fameux, qui prétendait créer du lien social, le prétentieux ! Cette aide a été refusée.

En 2009, Falbala récidive et demande le financement de la construction d’un abri de jardin couplé d’une serre et d’une cuve de récupération de l’eau de pluie en partenariat avec un lycée technique, une école maternelle et les habitants du quartier. Ce projet, qui propose conjointement une éducation à l'environnement, une construction collective et la valorisation de pratiques artistiques à fins de développer des plantations rares ou étranges, saura-t-il convaincre la ville ?

En voici déjà le plan.

À bientôt

Qui va là ?

Bonjour…

Aah !
Oh !
Mais qui va là, tout de blanc vêtu ?
Un fou en camisole échappé d'un hôpital ?
Mais non ! C'est Falpabo, habillé (par Véronique) mais encore nu de ses peintures rupestres.
Rupestres ?
Euh ! enfantines, si l'on préfère.
Et quand sera-t-il peint ?
D'ici à la fête des jardins, le dimanche 28 septembre 2008. Ce jour-là, il s'éveillera à la vie, sous les mots de Sarah qui racontera son histoire aux enfants.

Mais… mais… en voilà un deuxième ?
C'est une.
Une ?
Oui, Falbala en personne. Elle ne se satisfaisait pas de sa seule existence textuelle. Elle voulait une image. La voila.
Oh !
Aah !

On ne fait jamais les choses à moitié, chez Falbala.

À bientôt

Récoltes

Bonjour,

On vous laisse deviner…

À bientôt